Aurélie Binet
Kalpuli
Oscar Lugo-Le Kalpuli

13, rue Figuière

84000 AVIGNON

09 81 10 1671

Evénements Culturels

Le Kalpuli

Ancienne élève des Beaux-Arts d’Avignon, où elle obtient en 2014 le Diplôme National Supérieur d’Expressions Plastiques avec Félicitations du jury, Aurélie s’emploie dès lors à développer sa culture de l’image.


 

Aujourd’hui, armée d’une paire de ciseaux et de colle, elle transpose son imagination par le biais de collages. Son travail s’articule autour de l’exploitation et de la collecte d’images hétéroclites. Elle donne une seconde vie aux photos vintages chinées ci et là.


 Poussée par une réflexion sur le monde et la société, ses collages transposent une vie surréaliste et rétro-futuriste inspirée de la culture pop.


Interrogeant des notions de temps et d’espace, Aurélie réinvente une mythologie intime du quotidien. C’est ainsi qu’en 2017, elle dévoile sa série « Here we are », représentant des moments de vie implantés dans des landscape d’une autre échelle. Elle évoque par là l’intensité des émotions, de la vie, dans un monde en extinction.

"Mujeres" une exposition de la "femme Gainsbourg"

 

Depuis le 7 septembre, Pépita, artiste avignonnaise présente ses œuvres au Kalpuli, rue Figuière et ce jusqu’au 16 octobre.


Une dizaine de tableaux sont exposés dont deux créés avec l’artiste Kva, "plutôt graphiste, street artiste", explique-t-elle.


Pépita, dessine et peint depuis l’âge de 12 ans, elle a toujours pris des cours.

  

Son cursus artistique, bac et beaux-arts à Avignon.


Le vernissage "Mujeres' s’est tenu le jeudi 16 septembre et a attiré amis et amateurs d’art tout au long de la soirée.


Pépita aime mettre en valeur la femme à l’opposé de la Bimbo des réseaux sociaux, "la femme Gainsbourg" comme elle aime à le dire. La femme forte qui n’obéit pas aux diktats de la société, qui fume et adopte une indifférence nonchalante.


Les films d’Almodovar nourrissent son imaginaire.


Léa Barrier, fondatrice du Kalpuli, tient cet espace au côté d’Oscar Lugo, artiste Mexicain. Ouvert en décembre 2020 et inauguré en juin 2021, elle est également artiste photographe. Une exposition autour du corps est prévue prochainement. Un studio de tatouage prend également place dans ce lieu car Léa a appris cet art à Londres.



Natacha Régnier



Contact Le Kalpuli

13 rue Figuiere

Tel 09 81 10 16 71

  

Léa Barrier expose du 7 Juin au 9 Juillet au Kalpuli. L'artiste mêle tirages photographique et polaroid, dans cette installation le spectateur est invité à prendre place dans le jeu de l'intime que vous propose l'artiste autour de la photographie érotique.

 

L'artiste questionne le « Je » à travers l’autre, pour Léa Barrier la réponse réside dans un jeu fictionnel évoquant son rapport au corps, à l’intime et à la performance de l’acte photographique en lui même ; tel un rituel pour sacraliser un instant mis en scène, faire vivre le fantasme et le lien avec l’autre.


  

 A l’âge de 12 ans son enseignement commence dans un "Kalpuli", centre d'enseignement des Arts Originels Mexicains, où il étudie la danse Aztèque de 1994 à 2000. Il continue de développer sa créativité aux Beaux Arts de Guadalajara de 2000 à 2003.


Peintre et plasticien, il développe et met en scène un univers onirique inspiré de la spiritualité et de la culture Aztèque. Son travail s'oriente également vers le peuple et peint des portraits de société liés aux communités indigènes....


 En 2016, il met l'art au service de son prochain en travaillant dans un collectif indépendant d'art et culture "Paz y Territorio" pour aider la réhabilitation social dans le milieu carcérale.


Aujourd'hui, il s'installe à Avignon pour développer son art dans un atelier d'artiste et créer ainsi un pont entre le Mexique et la France. Il promeut l'art mexicain et continuer son travail de soutien dans les communautés indigènes.

Léa Barrier et Oscar Lugo, sont les artistes résident du Kalpuli et exposent du 8 Novembre au 31 Décembre. Les artistes vous invitent à découvrir leurs travaux au cœur de leur atelier.

 

Cette exposition nommée Fragment d'atelier propose une palette de multiple médiums dont les artistes disposent. Plusieurs univers s’entremêlent mais l'onirisme reste à l'honneur dans cette exposition. 

  

Entretien avec la délicieuse

Léa Barrier

 Léa Barrier / Baybay Blondy


Artiste photographe, plasticienne et tatoueuse, née à Cagnes sur Mer en 1990.


Son travail se caractérise par une fascination pour le corps, l’intime et le sacré.


Ancienne élève de l’École Supérieure d’Art d’Avignon, elle se dirige rapidement vers la photographie. En effet, c’est par l’image qu’elle exulte ses pensées au travers de prises de vue tantôt spontanées, tantôt mises en scène.


Elle obtient en 2014 le Diplôme National Supérieur d’Expression Plastique avec Félicitation du jury, ce qui l’incite à poursuivre son champ de création par d’autres médiums.


En 2015, toujours attirée par une culture du corps, Léa Barrier fait la découverte à Londres, du milieu du tatouage. C’est là-bas qu’elle réalise un reportage photo dévoilant des visages masqués d’encre et marque le début de son futur projet de vie. En effet, en tant qu’Artiste tatoueuse, elle perpétue l’étroite relation qui la lie au corps intime.


Guidée par des mémoires ancestrales elle décide de mettre à profit sa créativité en ré-illustrant le Tarot de Marseille afin d'en comprendre les codes et à son tour pouvoir tirer les cartes avec ses propres symboles. En découle un travail plastique autour des statuettes et du Talisman.


Elle élargit les horizons du tatouage en mettant de la spiritualité dans son travail afin de faire coïncider le corps et l’esprit dans une pratique plus ancienne à laquelle se rallie le tatouage. Dans certaines coutumes ancestrales celui-ci pouvait exister comme rite initiatique, thérapeutique ou de protection. Guidée par la géométrie sacrée, la numérologie, le tarot et l’alchimie elle réalise des Talismans basés sur une carte propre à chacun.

Au Mexique, le Kalpuli est un lieu sacré où les personnes se réunissent pour partager des connaissances liées à la mémoire collective au travers de différentes expressions artistiques ou spirituelles. Nous avons choisi ce nom pour consacrer l’idée d’échange autour de ces thèmes pour mettre en avant notre identité Franco-Mexicaine et promouvoir le lien social à travers l’art.